Dans l’ensemble, l’anastrazole est évalué par les auteurs de la publication citée comme une alternative sûre et efficace pour la gestion médicale de l’HBP canine (Gonzales et al. 2009). Toutefois, la durée relativement courte de l’administration des deux médicaments dans l’expérience citée doit être indiquée. Compte tenu de l’effet œstrogénique potentiel des deux composés, il est conseillé de les utiliser avec prudence. Lors de prostatite chronique, la barrière de la prostate sanguine empêche la pénétration de nombreux médicaments dans acheter stéroides anabolisants en ligne la glande.
Le tamoxifène est l’un des traitements d’hormonothérapie les plus prescrits dans la prise en charge du cancer du sein chez la femme non ménopausée. La prise du médicament offre donc une représentation symbolique face à l’idée ancrée dans la société que le cancer est une maladie incurable, et cela transparaît dans les diverses interviews de ces femmes. Les anti-aromatases (ou inhibiteurs de l’aromatase) sont des médicaments qui entrent en compétition avec l’aromatase, une enzyme qui permet à l’organisme de continuer à produire des œstrogènes par transformation des androgènes chez la femme ménopausée. Elle ajoute que la moitié d’entre elles ne l’avaient pas mentionné dans le questionnaire de suivi où la question était posée.
Les données probantes sur les bénéfices et les risques du tamoxifène chez les participants aux premiers stades du carcinome hépatocellulaire manquaient également. Hormis l’exemestane qui doit se prendre après un repas, les comprimés d’hormonothérapie se prennent à n’importe quel moment de la journée. Il existe parfois des risques d’interactions avec d’autres médicaments notamment pour le tamoxifène (avec certains antidépresseurs par exemple) et il est conseillé de toujours signaler à vos médecins mais également à votre pharmacien la liste complète des traitements que vous prenez. De même la consommation de millepertuis est fortement déconseillée car elle risque d’interagir avec le métabolisme de l’hormonothérapie. Le développement du tamoxifène et du cancer de l’endomètre semble être lié à la durée d’utilisation du médicament.
4 Analyse exploratoire, avec censure des dur�es de suivi � la date du changement de traitement (le cas �ch�ant) dans le bras placebo. Chez la femme m�nopaus�e en bonne sant�, des doses uniques de 0,1 mg, 0,5 mg et 2,5 mg de l�trozole diminuent les concentrations s�riques d�estrone et d�estradiol de respectivement 75 %, 78 % et 78 %, par rapport aux valeurs initiales. Les diff�rences ont �t� �tablies � partir des rapports de risque et des intervalles de confiance � 95 %. L�efficacit� n�a pas �t� d�montr�e chez les patientes atteintes d’un cancer du sein avec des r�cepteurs hormonaux n�gatifs. Par ailleurs, le tamoxifène possède un effet estrogénique sur plusieurs tissus tels l’endomètre et l’os (diminution de la perte osseuse post-ménopausique) et sur les lipides sanguins (diminution du LDL cholestérol).
Développement anormal de l’endomètre, pouvant se traduire par des saignements intermittents (voir Attention). La thérapie au tamoxifène vise à réduire les effets des propres œstrogènes du corps. Un apport supplémentaire d’oestrogène sous forme de contraceptifs hormonaux (par exemple, « la pilule ») ne serait pas logique et devrait donc être évité. Ajoutez à cette page des informations qu’il serait utile d’avoir à portée de main lors d’une consultation, telles qu’une adresse web ou un numéro de téléphone.
Il est disponible sous forme orale et est largement utilisé pour les traitements du cancer du sein. Il a la grande capacité de réduire les niveaux d’œstrogène dans le corps qui permettent au cancer de progresser dans la région du sein. FEMARA ne doit �tre utilis� que chez les femmes dont la m�nopause est clairement confirm�e (voir rubrique 4.4). Des cas de reprise de la fonction ovarienne malgr� un statut de m�nopause confirm�e avant le traitement ayant �t� rapport�s pendant le traitement par FEMARA, le m�decin doit discuter d�une contraception appropri�e si n�cessaire. Des études antérieures ont révélé qu’un traitement par le tamoxifène pendant 5 ans chez des femmes atteintes d’uncarcinome mammaire hormono-dépendant non métastasé, diminue le risque de récidives et améliore la survie. Dans l’attente des résultats d’autres études, il est difficile de formuler dès à présent un avis précis pour la pratique.
Cela fonctionne mieux comme mesure préventive, ou avant que le tissu mammaire n’ait été agrandi pendant trop longtemps, généralement quelques mois après le développement. Une fois que la maladie est présente depuis un an ou plus, les résultats positifs de la prise de tamoxifène diminuent considérablement. Dans la littérature, il a été montré que les individusmétaboliseurs lents du CYP2D6 ont un taux plasmatique plus faibleen endoxifène, un des métabolites actifs les plus importants dutamoxifène (voir rubrique Propriétéspharmacocinétiques).
Les douleurs musculaires et articulaires font partie des effets indésirables possibles de l’hormonothérapie. La perte des cheveux est plutôt un effet indésirable d’un traitement par chimiothérapie. La chirurgie consiste en l’ablation de la glande thyroïde, nommée thyroïdectomie. La radiothérapie vise à supprimer la glande en administrant au patient de l’iode radioactif. «Historiquement, la chirurgie, qui par l’ablation du testicule (orchidectomie) ou par le retrait de la partie interne du testicule (pulpectomie) est de moins en moins utilisée. Aujourd’hui, le traitement hormonal est une alternative tout aussi efficace». L’hormonothérapie est indiquée en cas de cancer du sein hormono-dépendant, pour une durée de 5 ans minimum et de 10 ans maximum, en fonction du stade de la maladie.